Les jours de fête ou pour aller au
marché, les femmes portaient un corsage bien ajusté alors
qu’un grand tablier blanc recouvrait une jupe sombre ample qui
présentait,avec de nombreux plis, une forme dite « faux-cul ».
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Mais l’autre singularité est
la coiffe tourangelle, ronde, richement brodée de fleurs
des champs, qui ne se mettait pas directement sur les cheveux.
En effet, ce bonnet était protégé par le port
d’une sous-coiffe , appelée aussi fausse-toque dans
les environs de Château-la-Vallière, évitant
ainsi qu’il se salisse.
Au début du XXe siècle, seules les grands-mères
la revêtaient encore. Actuellement, il est devenu un accessoire
pittoresque qu’on ressort parfois, lors des grandes fêtes
paysannes, comme celle de St Laurent-de-Lin qui a lieu une fois
l’an.
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